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Les Nouvelles Pratiques d’Agriculture Prouvent une Bénédiction à la Population au Congo RDC

juin 19, 2023

La sécurité alimentaire et la nutrition ont amélioré l’économie et les vies pour nos frères et sœurs dans les communautés et villages du Congo RDC à travers la phase II de la Réponse Mondiale de l’UMA au COVID-19.

Des gens comme Emilie Malonda, une maman de 41 ans d’âge avec trois enfants, étaient partie du projet qui a soutenu le développement du maraîchage biologique. Ils ont bénéficié des conseils des facilitateurs du projet sur comment améliorer la production de leur jardin. Cela a changé au retour la santé et la nutrition des femmes.

Selon Maman Christelle, la secrétaire de l’église de Matamba-Makanzi, le sarclage est difficile et cher pour eux. Christelle a dit qu’elle était ravie par la qualité des semences qu’elle a reçues. C’était quelque fois difficile pour des mamans comme elle d’avoir ces types de semences, mais par le soutien de ce projet c’était maintenant possible pour eux.

Maman Annie Nsimba, une femme de 44 ans d’âge qui était un des bénéficiaires du programme dans le village de Matamba-Makanzi, a partagé l’impact dans sa vie : « Merci pour ceci », elle dit, « j’étais capable de payer les frais scolaires de mes enfants à temps et avoir des ressources pour accomplir les petites dépenses vitales comme les petits déjeuner des enfants, les petits soins de santé, et d’autres dépenses. Avant j’étais incapable de payer aucune de ces dépenses », a dit Nsimba, « mais ce projet m’a apporté des changements remarquables, et maintenant je suis à même d’accomplir mes dépenses liées à ma subsistance ».

Rév. Enock Kambulu Vangu, le pasteur de district de Matamba-Makanzi, était aussi reconnaissant pour l’opportunité accordée à ces mamans durant la pandémie de COVID-19. Cela leur a permis de préparer le sol et la semence et de développer de nouvelles techniques pour l’agriculture.

Un autre cas de succès était que Papa Masiala et Papa Gabriel, les deux étaient bénéficiaires du Projet de Pisciculture. Ils ne savaient pas qu’ils pouvaient faire la vie et améliorer leur nutrition par la pisciculture. Ils étaient habitués d’acheter et manger du poisson cher conditionné avec du formol. Ils font du poisson pour eux-mêmes, ils mangent du poisson bio, et se font du revenu en vendant du poisson.

La Réponse Mondiale de l’UMA au COVID-19 était initiée pour procurer aux membres des églises beaucoup de nourriture nécessaire. L’insécurité alimentaire et le manque de nourriture avaient sérieusement affecté la santé des gens. Le projet du développement a procuré aux leaders locaux une opportunité d’implémenter des Activités Génératrices de Revenu (AGR) comme le maraîchage, la culture de poivron, d’aubergines, du manioc et de niébé. Le projet a aussi enseigné les principes améliorant le sol avec des fertilisants organiques, guano et bouses, ainsi que la fourniture d’un suivi technique, la pisciculture, et la création d’un petit agrobusiness.

L’augmentation des activités génératrices de revenu a fait que les gens améliorent leur critère de vie. Le président national de l’église de l’Alliance au Congo et le facilitateur du projet ont choisi des bénéficiaires qui devaient recevoir l’aide au développement. C’était un grand défi au début, essayant d’aider les agriculteurs de changer d’une production basée sur des fertilisants minéraux à une production organique ou saine qui améliore la santé humaine et respecte les principes de l’environnement. Des endroits comme Boko 2, par exemple, c’était la première fois que les bénéficiaires étaient capables de prendre part à de telles activités — de recevoir une formation en agriculture et l’aquaculture et de trouver un emploi.

La nouvelle activité agricole est permanente dans cette zone, et le Rév. Timothée Taty, le facilitateur, a visité les participants et a fourni des conseils, du soutien et une réponse aux préoccupations où c’était nécessaire.

Ayant reçu le soutien du projet de développement, Christelle, Annie, Emilie, Rév. Enock Kambulu, Papa Masiala, Papa Gabriel, et beaucoup plus des villages sont maintenant capables de procurer du revenu pour leurs familles.

Joignons le chef du village, Nzinga Lelo, dans la prière. Il dit que les gens là-bas n’ont jamais vu quelque chose qui pouvait les aider avec le labour, semence, et les techniques culturales sans payer. Il dit : « Ceci ajoutera un plus pour soutenir leurs vies et contribuer au développement du village ».

Par: Timothée Taty et Eunice Ron Mateo